INNOVATION
LA GÉNODIQUE,
LA MUSIQUE QUI ADOUCIT LES PLANTES
Procédé découvert et breveté par le physicien et chercheur français Joël Sternheimer dans les années 1960, la génodique consiste à soigner les plantes (et même les animaux) en les exposant régulièrement à des mélodies particulières : les protéodies.
Contraction de “génétique et mélodique”, la génodique est une science fondée sur les principes de la physique quantique. Les acides aminés, qui composent la protéine, produisent des vibrations sonores lors de la fabrication de cette dernière. Par conséquent, chaque protéine possède une séquence “musicale” qui lui est propre.
Pour soigner une plante avec les protéodies, il faut d’abord déterminer quelle est la protéine en jeu dans le fléau à traiter, puis composer la mélodie qui stimulera ou inhibera la fabrication par la plante de la protéine en question.
On peut par exemple augmenter l’activité de résistance
naturelle de la plante à différentes perturbations de son
environnement, ou réduire l’activité des agents responsables des maladies, comme les virus.
Mieux, des études montrent que les protéodies agissent aussi sur les valeurs organoleptiques et nutritionnelles des fruits.
LES BIENFAITS NATURELS
DES BIENFAITS SCIENTIFIQUEMENT RECONNUS
Des analyses de morphocristallisation ou “cristalisation sensible” ont permis de mettre en valeur les excellentes qualités nutritives et gustatives des courgettes “musicales” de L’Oustalet. Vitamines, nutriments, sels minéraux… Leur concentration en principes actifs se révèle supérieure aux courgettes élevées traditionnellement.
Moins réactives à l’oxydation, elles se conservent mieux alors même qu’elles ne sont pas traitées chimiquement. Elles sont également plus savoureuses, notamment parce qu’elles sont moins gorgées d’eau et plus douces. La preuve que la musique a des bienfaits universels… qui touchent même les courgettes !
La morphocristallisation ou cristallisation sensible
La cristallisation, dite “sensible”, a été utilisée au milieu du 20è siècle en Allemagne, sous l’impulsion de R. PFEIFFER, comme méthode d’étude des transformations des substrats de substances biologiques. Ces études avaient pour but d’évaluer la vitalité des plantes dans différents milieux naturels et de pouvoir en optimiser leurs qualités.
En 1991, le laboratoire d’œnologie THIOLLET installe un “département Recherches” consacré à la cristallisation sensible, partant d’une intuition basée sur la similitude des chimies appliquées, sur le vin et sur le sang, en laboratoire. Le raisonnement fût motivé par le désir de comprendre comment le vivant, non par quantification, mais par les énergies qui le composent.
Aujourd’hui, il est possible enfin de comprendre comment une énergie intervient, de façon positive ou négative, sur un produit vivant et donc de faire intervenir la nôtre, préventivement, et à bon escient.
En 2012 le département recherche devient Centre de recherches et d’études qualitatives sous le nom Œnocristal.